Ou plutôt "les" zones humides.
Il s'agit d'un terrain "habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles - qui aiment l’eau - pendant une partie de l’année" selon la définition qu'a souhaité en donner le législateur.
Ces zones jouent un rôle primordial de filtre : milieux diversifiés à forte valeur patrimoniale elles jouent un rôle important dans la gestion quantitative et qualitative de la ressource en eau :
- fonction de régulation hydrolique (ralentissement des ruissellements et ralentissement de l'érosion, stockage des eaux ...)
- fonction d'épuration (stockage et dégradation de polluants ...)
- fonctio biologique (accueil d'espèces animales ou d'habitat à forte valeur patrimoniale ...).
Un inventaire permettant de recenser les espèces végétales et animales est en cours de réalisation.